Points de vue sur l’éducation aux images
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“Je reconnais une œuvre à la liberté qu’elle me donne”

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La philosophe Marie-José Mondzain interroge le phénomène de radicalisation et la place de l’art et des images, post attentats.

Publié le 21/09/2017, Mis à jour le 25/07/2023

Dans le cadre du dossier Violence des images, Le Fil des images a souhaité poser un nouveau regard, celui de la philosophe Marie-José Mondzain. Dès les premiers attentats qui ébranlèrent la France en 2015, et ceux qui suivirent en France et dans le monde, la philosophe s’est intéressée à l’image “entre guerre et paix” et au phénomène de “radicalisation”. Dans son dernier ouvrage, Confiscation des mots, des images et du temps. Pour une autre radicalité, Marie-José Mondzain interroge la “radicalité”, aujourd’hui identifiée “aux gestes les plus meurtriers et aux opinions les plus asservies”, les (…) convictions doctrinales et les stratégies d’endoctrinement”. Et si, au contraire, la radicalité était la réponse ? Ne faut-il pas rendre au terme “radicalité” sa beauté virulente et son énergie politique ? Invitée par Alphabetville, l’Ina Méditerranée et l’Institut de l’Image, Marie-José Mondzain questionne également l’image comme “objet de croyance” et l’art comme moyen de réactiver la créativité, puis l’action politique. 

Captation : 30 mai 2017

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